L’atelier écriture des PARLE à Contre Courant 2013

 

 

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 Je recommande  Le gai pouvoir du clown  dans le OFF au Théâtre du Petit Chien : JUBILATOIRE ET PEDEGOGIQUE ! A voir entre adultes ou en famille, certaines troupes devraient venir y prendre un cours ! On rit ou l’on a le sourire aux lèvres tout au long du spectacle, on apprend des techniques et on se laisse porter par la mise en scène, des surprises mais je ne veux pas en dire plus ! Bruno, Seine et Marne

 

Ubu Kiraly dans le OFF au théâtre des Halles. Incroyable, loufoque à souhait, on rit beaucoup, surréaliste ! C’est en hongrois sous-titré, on ne s’en rend pas compte ! Douze acteurs sur scène c’est une vraie performance, 2 heures de spectacle avec une dynamique pour relancer l’absurde, à voir !

Quel bonheur d’arriver libres « et » à Contre-Courant en Avignon. On est en famille avec des adolescents de 12 et 13 ans aussi les spectacles doivent plaire à tout le monde. Sylvie, Seine St Denis,

 

Merci pour ce premier spectacle des Conteurs électriques qui sera suivi par beaucoup d’autres car tout ira bien !

Un des plus émouvants spectacles de clowns PSS PSS, que du bonheur !

Je fais partie de la commission culturelle et je profite surtout du IN car il faut avoir du temps pour explorer le OFF et moi je travaille dans la journée. J’ai adoré les rencontres avec les auteurs ou réalisateurs pour les présentations du festival. Caroline, Vaucluse

 

Dans le IN  Par les villages, 4h00 de spectacle dans le silence total, même pas de gens qui toussaient. A la première, plus d’un tiers des gens étaient partis mais on y a été le lundi et les gens ont été pris par le spectacle. Je n’apprécie pas trop Emmanuelle Béart qui m’a surprise par sa belle présence sur  scène et la maman de Stanislas Nordey m’a particulièrement touché !

Dans le IN, SHEDA de Dieudonné Niangouna, 4h30 de spectacle dans un lieu très minéral que j’ai trouvé parfaitement en lien avec le Congo, la carrière de Boulbon. Les acteurs ont même envahi le haut de la carrière. Les blancs en prennent plein la tête ! Des acteurs blancs jouent des acteurs noirs. Dur mais beau !

Ali Baba et les 40 voleurs à Contre-Courant, spectacle très bien réalisé, très bonne musique, c’est définitivement un spectacle familial ! Pablo, Alpes de Haute-Provence

 

Ce que je recommande dans le OFF, Regardez mais ne touchez pas de Théophile Gautier au Théâtre du Chien qui fume. Spectacle de cape et d’épée très drôle et très dynamique. Mise en scène pétillante.

Le jour où ma mère a rencontré John Wayne, joliment mis en scène, bien interprété. C’est l’histoire d’un fils qui quitte le giron familial avec une mère très possessive qui lui raconte son enfance au fur à mesure qu’il prend de la distance.

Les Conteurs électriques, c’était pas mal, j’ai un peu ri ! François, Gard

 

Nous serons tous des K au festival  Villeneuve en scène, scénographie intéressante, gros travail de mise en scène, les voix m’ont paru quelquefois trop aigues.

Je conseille aussi Le Woody Allen, Riverside Drive Central Park West, dans la cour d’honneur de la faculté des sciences, comédie excellente où l’on se moque de tout. Le psychiatre est ridicule, le philosophe délirant. On y trouve même une partie polar. Bruno, Seine et Marne

 

On a aimé voir la machinerie sur scène de Madame K au théâtre des Lucioles. C’est sur le thème de la peur. C’est léger et pour tout public ! Roselyne et Régis, Gard

 

Plusieurs spectacles que j’ai vus à Contre-Courant Hozee Fozee band, j’ai adoré. Catherine, Gard

 

Sicilia, Arte sans canapé ! les acteurs étaient très bons, un peu long mais commencé très tard, comme du théâtre d’appartement !

 

Ali Baba, j’ai aussi adoré, c’est frais, ce n’est pas du théâtre, c’est du ciné concert. La compagnie a  de l’humour, on voit qu’ils sont amoureux du cinéma et sont très bons musiciens, vraiment pour tout public, ce spectacle décalé. BRAVO !

 

Illuminations. On a déjà ce regard sur les problèmes abordés dans le spectacle car on habite Marseille. On a pu discuter avec le metteur en scène, c’est un passionné, il lui a fallu 2 mois et demi pour former les jeunes ! Christiane et Elisabeth, Marseille

 

A l’odyssée de la moustache au Théatre du Chêne Noir. On a été étonné de voir autant de thèmes traités en plus de l’émigration comme par exemple la vieillesse… Le jeu du comédien est excellent !

Qudus Onikeku avec My exile is in my head,  excellente performance, magnifique, quelle force, quel dynamisme ! Au début j’ai voulu lire tout le texte traduit en français mais j’ai lâché car je ne profitais plus du mouvement du corps de ce danseur. Nathalie, Gard

 

Prouesse des musiciens dans Ali Baba avec le film projeté en même temps. Dans Le Petitloquent, beaucoup de rythmes, particulièrement bien pour les enfants.
Je trouve que depuis quelques années il y a moins de monde à Contre-Courant, peut-être parce que les gens ont la carte du OFF et choisissent d’autres spectacles. A Contre-Courant j’ai vu des spectacles que je n’aurais jamais vus ! Ça permet de réfléchir ! La culture reste un coût, MERCI à Contre-Courant. Sylvie, Nîmes

 

A Villeneuve en scène on a découvert le texte de Yasmina Khadra, l’attentat, belle découverte ! Il y a 6 acteurs sur scène qui restent très fidèles au texte. C’est la quête d’un médecin palestinien naturalisé israélien qui cherche à comprendre le comportement de sa femme qui dénonce ce pays qu’ils ont adopté. Les décors sont sobres, dans des nuances de gris qui rappelle le mur construit ! Cécile, Haute Vienne et Caroline, Normandie

 

Nous sommes des fidèles du festival depuis 10 ans. Nous avons choisi ce spectacle car ce texte fait partie des textes choisis  par le festival des francophonies du Limousin.

Doriant Kaly, acteur dans le Crabe Rouge, originaire du Congo Brazzaville

Shéda de Dieudonné, du grand spectacle avec sa langue particulière, sa façon d’écrire. Quelle scénographie magnifique. Je n’ai pas eu de problème avec la longueur du spectacle car quand le spectacle est bon, ça peut durer longtemps !

Pour l’instant mon spectacle favori, Shéda même si le son n’était pas toujours audible !

Claudie, Marseille

 

Au nom du père et du fils et de JM Weston, 4 souffles, 2 textes intercalés, le dialogue des jeunes acteurs de l’Académie de théâtre du Limousin  qui sont dans leur préparation de mise en scène et le texte sur la dictature en Afrique avec 2 frères qui veulent comprendre la mort de leurs parents, sur fond de contrebasse, le spectre du père.

Que des mots durs, le choc des odeurs, des  plaies béantes, des dents cassées qui ont failli prendre leur liberté ! C’est du jazz à la kalache, on est dans le festival du rien, tout est fuyant, on est dans le non-sens et ces deux jeunes qui cherche l’odeur du cirage, dernier souvenir des Weston de leur père. Mais où est ce trou, dans quelle parcelle, celle derrière la mosquée du dialogue ou celle à côté du lycée de la réconciliation ?

Texte magnifique de Julien Mabiala Bissila où la kalache est un gros stylo ! Florence, Marseille

Todo el cielo sobre la tiera d’Angélica Liddell, très fort !, c’est pas (bon) parce que c’est très méchant mais justement on aime ! G.Salignat, 20 ans

My Exile is in my Head

Spectacle de danse de et par Qudus Onikeku Lundi 15 juillet 2013 sur Contre Courant

Je ne suis pas un grand passionné de danse et j'ai souvent du mal à rentrer dans le scénario de la pièce interprétée surtout lorsqu'il s'agit de danse moderne, mais quelques fois je me surprends à l'apprécier.

C'est ce qui m'est arrivé à Contre Courant sur le spectacle proposé par Qudus Onikeku, « My Exile is in my Head ».

Sur un plateau au décor dépouillé et sombre, tout commence par la projection d'une vidéo sur le teeshirt de l'unique personnage assis dans un coin de la scène, immobile, tournant le dos au public.

Puis le personnage commence à s'animer, dans des gestes très ralentis il comme à envahir l'espace scénique de sa présence. Ensuite sa danse devient très énergique, souvent acrobatique, empreinte de souffrance. Dans cette énergie et cet effort extrêmement physique, comme une sorte de transe, l'artiste nous captive et nous embarque dans sa grande peine, la solitude dans son exil, ses craintes, ses angoisses, son désarroi. Sa chorégraphie tourmentée est ponctuée par le son d'une musique lancinante et métallique sortant d'un instrument à corde et d'un texte poétique déclamé avec force en anglais dont la traduction projetée sur le fond du décor est vite oubliée tant le spectacle sur le plateau est passionné et passionnant.

Une bien belle soirée pour ce nouveau cru 2013 de Contre Courant avec un spectacle de très bonne qualité qui en appelle certainement d'autres.

Un « spect'acteur » anonyme…

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