Les PARLE à Contre Courant Samedi 11 juillet

Atelier PARLE du samedi 11 juillet

MY WAY Kelemenis et Cie

my way 1

GILBERT CONIL, agent ERDF Avignon

Je parle, je vois, j’entends en travailleur et comme dans « My way » du 10/07/2015, lorsque j’ai le choix entre l’ombre et la lumière, je ne sais pas faire.

Le miroir qui fait souffrir est sur scène et au travail comme le rideau qui ne sépare jamais la réalité de ce qu’on parle, de ce qui se voit, de ce qu’on entend.

Ils étaient 3 à s’aimer autour d’une lampe, 1 de trop et nous, pour qu’elle s’éclaire. Nous dans l’ombre, eux jouant des mains et des corps avec notre lumière, avec le rideau.

Dedans, dehors, travail comme un art et art au travail. Magnifique jeu de nous à eux et d’eux à nous.

 

 

 LINA, 10 ANS

Ils ont bien dansé

MAEVA, 20 ans

my way 2

Je suis danseuse, le spectacle m’a plu. J’ai trouvé la danse très fluide et dégageant beaucoup d’émotions. J’ai aimé cette boucle de la fin qui repart comme un début. La chorégraphie était structurée et c’est plus compréhensible pour tout public. J’ai trouvé les danseurs « beaux »  physiquement et pour ce qu’ils exprimaient dans leurs mouvements, comme s’ils étaient dans une impro en suivant le ressenti du moment. J’ai bien aimé la musique quand ça partait en live. L’année prochaine je passe mon bac danse car je suis au conservatoire.

 

FREDERIC

Un micro sur pied, lumineux, nous invite et nous averti: Vous allez voir les paroles.

Paroles d’abord intimes et personnelles puis doucement rayonnantes vers le public.

Qu’il est doux d’être jeune, et d’aimer.

Jules et Jim en miroir, peut-être Julie et Juliette.

Tous les possibles, My Way… à ma façon.

My Way aux multiples interprétations, mélodie lancinante et obsédante.

Toutes les variations, plaisir de retrouver, de (re)-découvrir des versions trashs ou exotiques.

Beauté des corps, qui exultent ou se brisent, envie de s’échapper du « comme d’habitude ».

 

 

Européana             (Cie Apatride) Patrick Ourednik

european

Un long long trait de marqueur, trop long trait de marqueur, taché de sang!

On traverse le siècle, il traverse le planisphère.

Tranches de vie, anecdotes, petits bonheurs, grands malheurs. Grands malheurs, petits bonheurs.

Ce XX siècle dont on fait seulement peu à peu l’inventaire, c’était au siècle dernier!

S’est-on battu pour toujours plus consommer?

 

Baby Comme Bach n°1 Théâtre de L’Argument

GILBERT CONIL, agent RDF Avignon

Pour aborder cette soirée et pas mal d’autres, passage au cabaret conseillé, pour un mélange : chaleur, petit vent, bière, pizzas, sourires, yeux complices, engagement et voix……..amicales et enthousiastes.

FREDERIC

« Aque » je t’aime! « Aque » l’intro sur les verres dans la cuisine!

« Capri c’est fini » hommage à JeanVillard, si si…

C’est mieux en Fa! Vive la pizza!

« Aque » je t’aime! « Aque » l’intro sur les verres dans la cuisine!

« Capri c’est fini » hommage à JeanVillard, si si…

C’est mieux en Fa! Vive la pizza!

ça rime avec les propos d’Antonin Arthaud sur le KK.

Assez d’essais (ACDC) j’ai vraiment pas les boules, merci.

 

 

ROMANTICA Cie Zigue Zigue

ALINE

Des hauts et des bas pour ce spectacle. Elle ressemblait étrangement à Noelle Perna dans « Mado la Niçoisezigue zigue

LINA, 10 ans

Le théâtre avec plein de paillettes, elle était rigolote, elle avait appelé un monsieur Aïoli !

Plus tard je voudrais être comédienne.

FREDERIC

Quand un pianiste souffre douleur, permet à une extravertie de Bannière-De-Bigorre de nous entrainer dans ses multiples délires et jardins secrets.

Elle est barrée, libre à nous de la suivre.

Les cendres fument encore, son amour est encore chaud, là sur scène.

 

Betty Argo en concert.       Léna et Amo

FREDERIC

betty argoUn peu tôt dans la soirée, 19h00

Torpeur de la fin d’après-midi, chant des cigales.

Et pourtant quel duo, quelle complicité, quel son.

Energie, toute en douceur, tout en feeling.

J’aimerais revoir à la fin d’une soirée, avec une salle qui chavire!

 

 

 

 

 

GERARD

CONTRE COURANT, j’y viens depuis 5 ans, c’est un festival de qualité avec de très bons spectacles. Je trouve le public pas très correct, ça parle, ça circule. On pourrait peut être annoncer au début du spectacle qu’il est préférable de respecter les acteurs, la CCAS éduque les gens par la culture et pourquoi pas le comportement ?

Réponse d’ANNA :

A chacun d’être responsable de son comportement et faire le garde chiourme n’est pas la démarche de ce festival.

 

 

ANDRE, Avignon, président des AMAP

10 ans que je viens à Contre Courant. Merci à ce projet qui nous fait découvrir ce qu’on n’aurait quelquefois pas été voir naturellement. Bravo pour le côté éclectique. J’y viens sans à priori, je prends le risque de rester et d’être touché. Par exemple ce soir je me suis régalé à l’électro apéro. Tout ce qui fait manifester une émotion est à prendre.

Pourquoi ne pas inviter les producteurs locaux à vendre leurs produits pendant Contre Courant ? Après tout la culture et l’agriculture ont des points communs !

ARLETTE, bénévole

Je me souviens d’un très beau spectacle sur la colonisation à Madagascar. Il y en a qui n’avait pas apprécié, j’avais aimé le jeu d’acteurs complété par une projection sur écran géant. Contre Courant j’y viens depuis que je suis retraitée, au début je venais à tous les spectacles mais maintenant je fais une sélection. J’ai aimé l’an passé le groupe irlandais.

EVELYNE

J’ai vraiment apprécié le discours de bienvenue de Pascale vendredi soir et particulièrement sa prestation musicale.

CLAUDE

Contre Courant j’en ai entendu parler par des voisins et j’y viens maintenant depuis plusieurs années. C’est varié, du cirque aux arts de la rue !

Dans le OFF On a aimé

Sylvie et sa fille Zoé de 12 ans,

Tout est bien ! Catastrophe et bouleversement à Villeneuve en scène à 19h (relâche 14 et 20)

On a adoré, très créatif, dynamique, excellente performance avec une histoire et beaucoup d’humour. Invention d’une nouvelle discipline du cirque ! Un vrai cadeau !

Opéra pour sèche-cheveux   à L’île Piot à 14h (relâche le 14)

Deux clowns drôles, légers et profonds, explosif ! sublime ! Ils ont obtenu un prix au festival mondial du cirque

Sabine,

Le manager, les deux crapauds et l’air du temps au Grenier à Sel à 16h (relâche le 20)

Humoristique, on passe des alexandrins à l’argot

L’ascenseur à l’Alibi à 19h15

On fait le plein d’émotions dans cette relation père-fille, texte riche et drôle à la fois. Primé aux coups de cœur ARTE !

Nous sommes formidables à l’Etincelle à 11h50

Texte riche de Rémy Boiron, on est des adeptes. Beaucoup de fraicheur et très humain

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